Granada est effectivement très différente de Leon, qui restera notre coup de cœur dans le pays. La ville, bien qu'elle nous soit apparue moins authentique et un peu trop touristique, a beaucoup à offrir, à commencer par ses ruelles colorées. Autour de la place centrale, de nombreux bâtiments religieux, des maisons coloniales somptueuses, et de charmants musées, rendent la visite intéressante.
Granada est toujours en mouvement. Le matin les bus, les taxis et les chevaux trainants leur cargaison sur des remorques de fortune se frayent un chemin jusqu'au marché. La journée, quand les processions religieuses n'envahissent pas la chaussée, ceux sont les gamins et leurs pétards. Et le soir, les marchands ambulants sortent leur barbecue, et proposent à qui veut bien, une nourriture dont on ne sait pas trop d'où elle vient...
L'autre attrait de la ville vient de son lac toujours balayé par le vent et secoué par de belles vagues. Le Lago Nicaragua, grand comme la corse, fournit les réserves en eau et poissons pour l'ensemble de la région. Les centaines de petites îles bordant ses cotes sont tantôt peuplées de luxueuses résidences secondaires, de maisons de pécheurs faites de tôle, ou de singes araignées.
Après ses quelques jours à Granada, nous avons pris la direction de l'océan Pacifique pour nous rendre à San Juan del Sur. Eh bien, le nom comme le lieu ressemble en tous points à Saint Jean de Luz. Construite dans une crique bordée d'un long croissant de sable fin et entourée de falaises et rochers, la ville compte autant de restaurants et bars de plage que de surfers étrangers. L'ambiance y est à la fois festive et paisible, le littoral protégé, et les touristes bienvenus.
Demain nous quitterons le Nicaragua pour entrer dans notre dernier pays d’Amérique centrale, le Costa Rica.
Granada est toujours en mouvement. Le matin les bus, les taxis et les chevaux trainants leur cargaison sur des remorques de fortune se frayent un chemin jusqu'au marché. La journée, quand les processions religieuses n'envahissent pas la chaussée, ceux sont les gamins et leurs pétards. Et le soir, les marchands ambulants sortent leur barbecue, et proposent à qui veut bien, une nourriture dont on ne sait pas trop d'où elle vient...
L'autre attrait de la ville vient de son lac toujours balayé par le vent et secoué par de belles vagues. Le Lago Nicaragua, grand comme la corse, fournit les réserves en eau et poissons pour l'ensemble de la région. Les centaines de petites îles bordant ses cotes sont tantôt peuplées de luxueuses résidences secondaires, de maisons de pécheurs faites de tôle, ou de singes araignées.
Après ses quelques jours à Granada, nous avons pris la direction de l'océan Pacifique pour nous rendre à San Juan del Sur. Eh bien, le nom comme le lieu ressemble en tous points à Saint Jean de Luz. Construite dans une crique bordée d'un long croissant de sable fin et entourée de falaises et rochers, la ville compte autant de restaurants et bars de plage que de surfers étrangers. L'ambiance y est à la fois festive et paisible, le littoral protégé, et les touristes bienvenus.
Demain nous quitterons le Nicaragua pour entrer dans notre dernier pays d’Amérique centrale, le Costa Rica.